Ce domaine ne nous avait pas tendu les bras depuis quelques années mais c’est avec plaisir que nous l’avons retrouvé.

Ce week-end ne s’annonçait pas sous les meilleurs auspices puisque nous attendions de la pluie, et qu’une grande partie des effectifs avait fondu sous l’effet du COVID, dont notre cher Président !

Quand bien même, nous avons dépassé ces obstacles et après quelques heures de route toujours véhiculés par nos fidèles conducteurs et des renforts bienveillants, nous sommes arrivés dans ce petit coin d’Espagne dans la nuit, après plusieurs tours de ronds-points !

Au petit jour, surprise d’avoir un temps exceptionnel mais également très peu de neige. Les premières visions au départ du télésiège étaient très printanière avec une herbe bien verte et une neige plus que discrète.

Nous voilà rassurés au sommet. Ski sur une belle neige de printemps qui a mis nos gambettes à rudes épreuves. Après restauration sur la zone d’Anayet, nous avons pu profiter du domaine qui semblait nous être réservé, les espagnols ayant désertés au profit des terrasses.

Les télésièges et le ratrack de la Glera nous ont permis de profiter de l’ensemble du domaine avec beaucoup de plaisir malgré les coups de freins d’une neige bien aqueuse.

L’ambiance était festive en fin de journée avec les Dj’s de l’après ski. Un breuvage, sponsor officiel des moniteurs de la station, nous a réhydraté pendant que nous dansions en chaussures de ski.

Certains ont pu profiter du spa de l’hôtel à la sortie des pistes, pour détendre des mollets bien sollicités.

Nous avons pu retrouver Isabelle, dont le genou droit a été victime de la neige lourde et en paquet de la piste de Picos. Nous lui souhaitons un rapide rétablissement.

La soirée est courte après le grand air et le soleil, visible sur les visages de nos nouveaux adhérents. Certain ont profité de la terrasse de la Glera et cela se voit !

Levés tôt ce deuxième jour pour profiter du domaine avant les cours de ski. La neige est dure pour le plaisir de certains, renforcée par l’heure d’été, adoptée dans la nuit.

Des téméraires souhaitent profiter de la terrasse de la Glera mais c’est sans compter l’attente au ratrack et les nuages qui s’amoncellent. Un seul à concrétiser, c’est Serge qui a pu déguster son menu avec côte de bœuf.

L’après-midi est moins fraîche mais le soleil joue à cache-cache. Une partie des effectifs rentre à l’hôtel pour bénéficier du spa et se préparer au retour.

Le retour est ponctué par l’achat de fromage en direct des producteurs. Nous souhaitons beaucoup de courage pour le voyage de Christine qui se poursuit par des heures sup’ de bus au départ de Saint-Jean vers les Deux-Alpes pour une semaine avec ses élèves de classe de neige.

Ce fut une fin de saison particulière mais largement appréciée par les participants après deux années d’abstinence, cause COVID. Nous espérons vous revoir l’année prochaine pour partager les plaisirs de la glisse !

A très vite !

Comme en 2018 et 2019, nous sommes partis en principauté, dans un bel élan d’optimisme avec l’espoir que le soleil allait une nouvelle fois éclairer nos joyeuses glissades. Déception, les deux coprinces, d’humeur peu amène, ne répondirent pas à nos attentes.

Dur début de semaine !! Mais qu’importe pour de vrais skieurs motivés, ravis de retrouver leur domaine favori.
Il en fallait pourtant un sacré courage ce lundi matin, pour affronter quelques cinglantes rafales de vent et de neige. Malheur à ceux qui avaient oublié casque et masque. Et la purée de pois était en plus particulièrement indigeste.

Nos monos, véritables GPS à notre service, avaient beaucoup de mérite à distiller leur enseignement et veiller à ne pas perdre l’une de leurs ouailles.

Le réconfort, on avait coutume de le savourer en terrasse, en tenue légère, lunettes de soleil et crème obligatoires. Mais cette fois pas de séance bronzette.

Pessons et Nordic, pour les plus chanceux, ravissent nos estomacs et permettent de repartir de plus belle, à la recherche d’un bel éventail de couleurs… de pistes, bleues, rouges, et noires. A défaut de les entendre ou de les voir, elles nous rappellent que cette nature est riche de Rossignol, de Colibri, de Llebre. Et quand ça bouche devant, on fait Cucut pour éviter de l’avoir dans l’Ós.

Une heureuse évasion nous a été offerte par ce dépaysement en terre andorrane. La fête eut été complète si elle n’avait été gâchée par les dures blessures de Sandrine et de Michel. Nous pensons bien à eux et leur souhaitons le plus rapide des rétablissements.

Le retour au foyer s’échelonne sur toute la journée, certains voulant en profiter jusqu’à la fermeture des aires de jeux, jusqu’à saturer notre insatiable désir de glisse.

Merci à vous toutes et tous d’avoir contribué à la réussite de ce séjour. Merci aux organisateurs, à nos monos, Serge, Éric, Bruno avec mention particulière au polyvalent Pierre pour son aide à l’échauffement matutinal et aux étirements vespéraux.

Tout au long de la descente, nous remercions le printemps de ravir nos pupilles d’une débauche de couleurs.
Le week-end prochain, nous pourrons de nouveau nous régaler de cette nature prête à bondir en terminant la saison à Formigal.

Au plaisir de se retrouver dans ce même enthousiasme,

2018 : la pluie nous fait fuir un dimanche matin.
2019 : l’excès de neige gâche notre week end.

Nous étions sur le point de dire Halte sur Barèges.
Mais le Club ne cède pas au découragement.
Le convoi pacifique, motivé par la jeunesse de ses troupes,
met le cap sur l’ancien bourg des Thermes, plus haute station thermale des Pyrénées.

Pour la nuit, nous quittons avec un peu de regret le charme discret du Grand Bivouac pour faire halte à l’Alphée qui nous fait tomber dans les bras de sa douce Morphée.

Ambiance hibernale garantie. Suspendu dans une épaisse ouate sur nos sièges, on savoure, par instants, un décor de carte postale.
Mais une fois nos semelles posées, c’est un sacré défi qui nous attend : celui de ne pas perdre de vue le mono ou le groupe et pour ceux qui découvrent la station de s’orienter tout simplement.
La vue de l’observatoire du Pic du Midi, le panorama au sommet du Tourmalet sur le Néouvielle, l’Ayré ou l’Espade, ce sera pour une prochaine fois.

L’estomac lui est indifférent au paysage. Il n’obéit qu’à son horloge.
Pour satisfaire les nouveaux, nous sacrifions au « rite » de Louisette, en délaissant la Laquette et sans trop de Piquette. Un peu de déception pour les anciens sur le contenu de l’assiette qui lui préfèrent le Bastan.

À la reprise, on espère un grand ménage dans le ciel… qui ne vient pas. Et l’on a toujours autant de mal à savoir si l’on est bien en piste !!! et reconnaître la couleur des piquets.

Le réconfort vient enfin quand des Quatre Termes, on en vient à se relaxer dans les chaudes eaux et vapeurs des Thermes qui doivent leur renommée dès le 19° siècle à quelques têtes couronnées.
Les bergers en auraient été les premiers utilisateurs en imitant leurs bêtes malades se tremper dans les eaux de sources pour soigner leurs douleurs.

En ces temps si agités, cette sortie en pays Toy nous a fait le plus grand bien.
Je remercie nos monos, bergers et chauffeurs à la fois, d’avoir si bien veillé sur nos jeunes recrues et les avoir ramenées, repues et ravies dans leur foyer girondin.
Et du coup, j’espère les retrouver prochainement.

N’oubliez pas enfin que la forme s’entretient, en tout lieu et en tout temps, peut-être sans… mais plutôt avec Pierre. Preuve à l’appui, cette séance improbable réalisée à son initiative, sur l aire d’Aire-sur-Adour. J’ai déjà sollicité les instances pour que cette paroi, propice à chasser les lamentations et calmer les douleurs, soit désormais baptisée : Mur des étirements.

Le Club voyage pour, des Alpes aux Pyrénées, offrir à ses gentils membres le plus grand choix de pistes et de décors.
Les alpins ont eu le Mont Blanc, et nous le Néouvielle. Quelques 1800 m séparent leur sommet, mais quel égal Panorama ! Ils ont peut-être vu des chamois, et nous, des isards…
Pour ce retour dans nos chères Pyrénées, nous sommes gâtés : grand soleil dans un ciel d’azur, une neige moins traffolée (voir Pierre… ou Mr. Google) qu’aux Arcs et une équipe de monos au grand complet.

Heureux sont les participants à ce premier week-end en Occitanie, à Saint-Lary, qui ont donc eu cette chance de commencer leur saison dans les meilleures conditions.

Et fiers à notre tour d’accueillir de nouvelles recrues du bout du monde avec Kris citoyen américain venu avec sa fille, et Sunand, un grand montagnard népalais accompagné de son épouse Adélaïde.

Quel rafraichissement pour le club et satisfaction d’avoir quasiment fait découvrir à ce jeune couple la pratique du ski alpin. Merci particulièrement à Maud et Serge pour avoir assuré cette initiation. Ils vous louangent pour votre pédagogie, votre patience…

Nous avons essentiellement glissé sur Espiaube, pour redécouvrir quelques mythiques pistes, la Mirabelle – en reconnaissance à la championne locale Isabelle Mir –, Terrenère, les Combes d’Aulon, Corne blanque…
Et pour Gesche, une petite plongée sur l’Oule, voir son lac pris par les glaces, et peut-être méditer en son bord quelques célèbres vers d’Alphonse « Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure… ».

Sport et poésie ne pouvaient que faire bon ménage dans un tel environnement !

Merci à vous toutes et tous, élèves et monos, qui avez contribué à la réussite de ce week-end béni des dieux.

Bonnes vacances.
On se retrouve début mars à Barèges pour tutoyer de nouveaux sommets.
(urgent de s’inscrire pour les quelques places restantes)